Page 8 - ALBI, LA CATHEDRALE SAINT-CECILE
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Les morts surgissent de leur tombeau. Les ressuscités comparaissent devant le
Juge suprême.
Chacun porte sur sa poitrine un livre ouvert, symbole de
la conscience révélant bonnes et mauvaises œuvres (cf.
photo de gauche).
L’examen a été favorable à tous ceux qui sont à droite du
trône : le visage en paix.
En face des élus l’artiste a mis les damnés, eux aussi
portent un livre et c’est leur condamnation qu’ils portent.
Au registre du bas, l’enfer s’organise en sept
compartiments, autant que de péchés capitaux; manque
le panneau des paresseux disparu lors du percement de
la chapelle.
Ainsi, l'orgueilleux est soumis
au supplice de la roue (ci-
contre), l'envieux est trempé
successivement dans l'eau
glacé puis dans un lac de feu.
Texte proposé par Solange Bouvier
Sources textes et photos :
architecture.relig.free.fr
Internet
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