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Dévotion particulièrement présente au sein de l'Église
catholique mais aussi, mais moindre, dans l'Église anglicane et
dans certaines Églises luthériennes, elle met l'accent sur les
concepts d'amour et d'adoration voués au Christ. La solennité
du Sacré-Cœur a été instituée par le pape Clément XIII en 1765
et étendue à toute l'Église catholique par le pape Pie IX en 1856.
Le second vitrail est dédié à Notre-Dame de Compassion,
sainte patronne de l’église de Corbelin.
Ces sept douleurs sont représentées dans le vitrail par sept
poignards que Marie tient dans ses bras.
Notre-Dame de Compassion
Ce vocable est indifféremment employé avec celui de
Notre-Dame des sept douleurs, par référence aux grandes
douleurs qui ont jalonné sa vie.
Ce sont :
La prophétie du saint vieillard Siméon.
La fuite en Egypte.
La disparition de l'Enfant Jésus au Temple pendant trois
jours.
La rencontre de Jésus portant sa croix et montant au
Calvaire.
Marie, debout au pied de la croix.
La descente de Jésus de la croix et la remise à sa mère.
L'ensevelissement de Jésus dans le sépulcre.
Côté autel du Sacré-Cœur
Vitrail des Rois mages
Les rois mages (hommes sages ou
savants), au nombre de trois selon la
tradition mais accompagnés de leur
escorte, sont venus guidés par une
étoile, pour adorer l’Enfant-Jésus, à
Bethléem où il est né et lui offrir des
présents.
Le vitrail montre l’encensoir (l’encens
est symbole de divinité). Les autres
présents sont : l’or (symbole de
royauté) et de la myrrhe (symbole de
l’humanité donc de la mortalité de
Jésus).
Vitrail La rencontre de Jésus avec
la Samaritaine
Vitrail Jésus rencontre
Vitrail des Rois mages
la Samaritaine
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